Port-Marly Mémoire Vivante - Cartes postales

Bas de la rue de Versailles en direction de Saint-Germain. En travers la nouvelle RN 13 qui a transpercé le village. Dans l’angle, encore préservé de l’emprise routière, le groupe Mairie-Ecoles.

Actuel 12 bis rue de Paris : la gare routière tramways-autobus et le petit bâtiment des employés ont disparu au profit de la résidence des "Terrasses" en 2000.

En avion au dessus des coteaux de Marly vers 1950. Face à l’église, l’ancienne usine "Lits Dupont" puis "Hubert" a disparu pour la construction de la résidence "La Renaissance" en 2003.

Si la rue de Versailles en travers de la carte a conservé le même aspect. L’urbanisation des années 1950-60 a fait disparaître un coteau autrefois enchantement printanier de centaines d'arbres fruitiers : prunes et mirabelles distillées à Port-Marly au 28 route de Versailles ont fait un alcool réputé.

A droite, le Château des Lions. A droite, les maisons de la rue Jean Jaurès devant le miroir de la Seine.

Le village s'étire le long de la Seine. On distingue le deuxième bras de la Seine qui enserre l'Ile de la Loge. Au loin le mont Valérien.

Au premier plan, le coteau des Montferrands

Au premier plan, ancienne "maison du canon" ou "grange des Gardes du corps du roi" fin XVIIIème siècle, bureau de poste courant XXème... aujourd'hui restaurant.

Vue générale de la Terrasse de Saint-Germain depuis le coteau escarpé de l'ancien parc du Château des Lions.

Vers 1950, quelques pavillons de la rue de Bellevue sur l'ancien parc du Château, au-dessus de la rue de Versailles.

Deux des monuments historiques de Port-Marly, le château des Lions en haut à droite et l’église Saint-Louis. A gauche, l’ancienne Mairie détruite en 1970 pour laisser place à l’autopont. A droite la rue de Paris, avec le restaurant le Lion d’Or.

Au centre, le troisième monument historique de Port-Marly, le château de Monte-Cristo. Urbanisation du parc du Château des Lions : la résidence des "Lions" en 1955/56.

Vue de la Seine, vue de l’église. Urbanisation du coteau : La fragilité géologique du lieu-dit "Les Fours à chaux" a transformé le projet primitivement pavillonnaire de Marly Soleil en un ensemble résidentiel - 1956

Une pensée pour tous ceux qui ont fait vivre notre village.

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