Port-Marly Mémoire Vivante - Cartes postales

Courant Janvier 1910 des pluies diluviennes s’abattent sur le bassin parisien, les terres gorgées d’eau ne jouent plus leur rôle de réservoir. C’est la montée inexorable des eaux, ici rue de Paris.

Le 1er février, la crue est au plus haut, elle atteint 8,61 mètres.

Dans la station, l'eau a emprisonné une locomotive. Plus de circulation de Bougival à Port-Marly

Sur l'ile de La Loge noyée, les équipements de la ferme de Jersey-Farm subissent des dommages parfois irréparables. On a pu sauver le cheptel de vaches et les couvées en les hissant dans les étages et les greniers

L'eau grimpe dans la rue Saint-Louis (rebaptisée rue Jean Jaurès en 1921).

...Où les sauveteurs en barques sont les bienvenus

Au loin, rue de Versailles. Dans la brume, les spectateurs curieux et inquiets

La promenade des tilleuls les pieds dans l'eau

La rue de Paris, cité lacustre

Sur la passerelle le sergent Lefebvre, le garde champêtre Portas, Guyot chef des pompiers et, les dominant de sa haute stature et de son chapeau melon, le maire Emile Marin. Une compagnie du Génie est venu prêter main forte.

Rien ne peut empêcher les activités humaines. Un déménagement plus acrobatique que prévu…

...ni le commerce du Chantier du port sur la route Nationale (aujourd'hui rue de Paris ancienne RN13)

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