Port-Marly Mémoire Vivante - Cartes postales

A la fin du XVIIe, l'abbé Couleau, propriétaire de la Grande Maison (en place du Château des Lions actuel) fait construire une auberge propre à faciliter le commerce à l'angle de la rue de la grande Pinte et de la rue de Paris. Le bâtiment a conservé sa vocation : Hostellerie de la Grande Pinte.

Bâtiment saccagé. Ne reste de la splendeur de l'auberge le médaillon à tête de cheval

Une grande salle à manger accueillante

Le Lion d'or : "une table à ne pas manquer pour sa matelote et ses fritures" recommande le Guide Conty de 1888.

Au Lion d'or, "garage avec fosse" ! Fini le règne du cheval et de l’écurie, voici celui de l’automobile et de la fosse à voiture.

Au carrefour des rues de Paris et Jean Jaurès, alignée, la troupe de service. A admirer au passage la belle maison milieu XVIIIème au 11 rue de Paris.

Une idée du temps retrouvé sur cette partie de la rue de Paris... N'était-ce l'absence de voitures

En bordure de Seine, guinguettes et restaurants accueillent les citadins avides d'air pur et d'évasion. Chez Rebeira, les cyclistes ont-ils remplacé les canotiers ?

Les Lilas. A la belle saison, Noces et banquets bénéficient d'une belle terrasse ombragée avec vue sur la Seine. Pour la distribution des prix qui se passait dans ce restaurant, les enfants, non, seuls les garçons, chantaient la Marseillaise !

Changement de propriétaire. "lou soleo me fa canta" (le soleil me fait chanter) la cigale invite à la dégustation de spécialités provençales à "La Farigoulette". En 1987, s’élève en lieu et place la résidence "le Manoir".

La traction hippomobile à l'honneur : un déménagement au 36 rue de Paris

Si la partie gauche de la rue a encore, gardé actuellement le même aspect, que dire de ces "Rives de Seine" sur les anciens chantiers du port qui amènent à penser plus au fil du béton qu'au fil de l'eau.

Au bout de la rue de Paris, les marronniers de la rue de la République, tour à tour rue de Paris, rue royale, impériale, nationale 13, au gré des gouvernements et des époques

Notre barbu est de retour sur l'allée donnant accès au golf, à l'extrémité de la rue de Paris, c'est maintenant la route menant aux ensembles : scolaire, culturel et sportif de la commune.

La présence de cette station "Eco essence" à l'angle des rues du Val André et de Paris témoigne de l'arrivée de l'automobile, même si elle semble absente des cartes. Il y aura jusqu'à trois distributeurs d'essence dans la seule rue de Paris. Ce qui, ajoutés aux réservoirs de carburant destiné aux autobus pouvait entraîner une situation … explosive

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