Histoire des Lieux-dits – Cahier d’Histoire numéro 3

2017-02-08T22:09:00+00:00

Promenons-nous à travers les lieux-dits de la commune pour en retrouver l'origine : port de la Loge, Fours à chaux, témoignages de l'activité économique du village - ou les personnages qui les ont animés : Alexandre Dumas, petits fils d'esclave aux Montferrand et Hilarion de Kératry, hobereau breton sur le coteau voisin des Ormes voisins sans compatibilité - ou encore la fragile meunière de Marly à la Fontaine Saint-Martin – l'incidence géologique les Plains champs. Et les Communes ? Qui imaginerait dans ces terrains morcelés l'histoire captivante d'un golf international ? Disponible en version papier et version électronique.

La saga des Stuart – Cahier d’Histoire numéro 1

2017-02-08T22:09:54+00:00

A quoi correspond cette inscription sur la cheminée de la Salle des mariages de l'hôtel de ville de la commune "Chambre de Jacques II 1698" - Jacques II roi d'Angleterre ? Le Château actuel fut reconstruit au début du XIX e siècle, aucun document ne précisait la présence du Roi d'Angleterre au port – même si Jacques II a vécu en exil à Saint-Germain en Laye. Alors ? Cette cheminée provenait du décor transféré à Port-Marly vers 1830, d'une chambre du Château de Colombes, alors propriété à Colombes de Henriette Marie, soeur de Louis XIII et mère de Jacques II... chambre qu'occupa le Roi d'Angleterre à Colombes. Disponible en version papier et version électronique.

Vivre l’École au Port-Marly – Cahier d’Histoire numéro 2

2017-02-08T22:10:30+00:00

Bien avant les lois scolaires de Jules Ferry, une école voulue par le Louis XVI en même temps que la chapelle royale, a réuni fillettes et garçons, une maitresse et un maitre d'école pour chaque classe. Paradoxalement fermée à la Révolution, l'école n'a repris qu'en 1830... pour les garçons. Les filles seront réunies à l'Ecole des Sœurs de la Sainte Enfance, au 1 rue de Versailles. Le groupe Ecoles publiques - filles et garçons- encadrant la Mairie tant attendue verra le jour en 1895 pour disparaître dans les années 1970, victime de l'expansion du réseau routier. Deux groupes scolaires vont se succéder Albert Camus aux Lionceaux, puis l'actuel Alexandre Dumas. Disponible en version papier et version électronique.